Lestarvea
Simphiwe Ndzube Aux petits yeux dodus et au mains de cuir noir, Attaskwa est calme et débonnaire alors qu'il se penche sur des roseaux, sur les queues de chats piétinés à côté d'un étang réfléchissant les nuages Rempli de cosmogonie, il devient extrêmement altruiste Il brille dans sa tête, a tout laissé à l'accueil comme une pièce de monnaie lancée sur le lit d'un ruisseau Wabami, regarde-le Kekenetama, il sait Il focalise le téléobjectif de son appareil photo et détaille les gouttes d'eau luminescentes de ton manteau scintillant Quand il avait écrit sur les femmes et sur leurs danses sauvages, c'était un masque Sur leurs montagnes, à la chasse des dieux, en chantant, en orgie, c'était un masque De la parole des mathématiques pour apercevoir une fraction, l e soleil n'est pas dupe Il augmentera son volume pour rien d'autre Seul un endroit immobile et peut-être une nouvelle horreur extérieure, une autre hideur, pourra tamponner la beauté, la marque