Mekon
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Hope Gangloff. Quand ils avaient des corps, Un muscle brûlant les arrachait du soleil, Les laissait apprendre, Penchés sur leurs plaies béantes. Je les ai entendus s'adapter : mmmmm Quelques problèmes pour manger ? L'été le plus cruel d'une vie Douloureux sans avertissement ? Devez-vous exécuter un mandat ? Abattre des rêves peu prometteurs dés l'arrivée ? Chacun d'entre nous a fait Quelque chose de ridicule, Mais je suppose Que tout le monde y a participé, Involontairement. Alors attends, j'y pense... Cela veut dire Que tout le monde Fait partie de ma famille ? Pas cool. La famille solidaire, Aimante et dominante, N'est qu'une illusion insultante. La familiarité engendre du contenu. Lorsqu'un rouage se désynchronise, Ils le sont tous. Notre biologie, Héritière de la même bouche, Qui parle et se fait entendre, Les mêmes oreilles. Il paraît que le sang est même plus épais que l'eau Où le cœur résiste, Où le rire pousse les singeries non ciselées Vers de nouveaux vols, Où les réelles retrouvailles ne viendront pas, Où de nouvelles rencontres se feront. Personnes à fourrures, Quadrupèdes non confisquées. Ils portent des déguisements Et s'enquièrent de la famille De l'un et de l'autre. Il y a beaucoup de s'il vous plaît Et de je peux. Ils se vident complètement De sirop de framboise. Et d'une main, Continue à écrire Et à tenir la délicate machine à côté : Cette petite fée d'acier. La bicyclette Dont naissent les histoires de filature Comme pour faire écho Aux étranges singularités Et synchronicités Qui se répètent si souvent Au cours d'une vie humaine. Faire la même chose. Quel est ce produit ? Exister dans cet univers, Ce monde parfait, C'est comme être en prière, C'est séparé du produit Ou du succès Ou de l'échec du produit. Il y a quelque chose à propos de l'immobilité Immuable de ce composé. Puis, Il y a quelque chose De si juteux dans la façon Dont ils pourraient aborder un grand récit Pour nourrir la partie demon cerveau. Le refus de reconnaître ce qui se passe Alors même que l'obscurité s'épaissit autour. Il n'y a pas de bords rugueux. On ne peut pas se casser la figure. C'est effrayant et si étrangement contemporain. Avec un danger croissant De devenir rationalisés et domestiqués. Quelques membres avaient vu Mon squelette. Volets : Tympans métalliques, Xylophone de pluie. Ils s'étaient noués. Il savaient comment allumer des feux. Comment se tenir comme des hommes, Retenir leurs larmes, Laisser en lambeaux Leurs enfants : Fleurs hautes et maigres. Tumulte insensé, Famine mentale. J'ai une crise de faim : Como el viento ! Et si je dormais ? Durant tout le jour. Combien cela pèserait-t-il ? Entre 50 ? Je prétends Que les bouffées de farine Sont des souffles de dragon. Haut-parleurs activés. Balles de mots. Secouer la foule terne De troncs serrés. Mon verre est mon seuil : Qu'importe si j'ai deux pieds Ou 4 pieds. La douleur n'est plus une constante grave. Cri de la louve qui pleure Des larmes de nostalgie, Des éclats usés par le temps. Crass par son nom. Crass par sa nature. Fuk fuky toujours plein sur le douze. La barre d'espace pousse Le mekon à gauche. Profiter de mon terrier de lapin. Pincement des orteils dans mon dos. Le tuer propre, Brillance brute. Les abus peuvent briser, Une tétine m'apaisera au réveil. Leurs surfaces sont désormais Une fondation solide Pour tenir debout dessus. Aucun autre visiteur Qu'un nuage à la dérive, Aucun autre assassin de rêve. En une absence physique, Mon hologramme Contient toujours Comme une feuille coupée, Un petit fragment, Un cil : Une goutte comme une essence. Les mains en l'air J'ai poussé un cri : Un riquiqui poil sur mon menton. Un héritier indiscipliné. J'ai reculé d'un mètre Scrutant le mammifère en moi. Respirant Sa légère odeur d'urine qui flotte. Parfum Boucheron. Petite mammifère Consciente de ma petitesse. La semaine prochaine, J'emmènerai mon fils Au cimetière des pionniers. Et s'ils produisent un son, S'ils le disent assez fort : Bo ! Alors nous serons fiers et comblés ! |
